

Denis Van Weynbergh a enfin mis pied à terre aux Sables d’Olonne ce 8 mars, après 117 jours de mer. Il termine dernier, après la fermeture officielle de la ligne d’arrivée qui fermait le… 7 mars à 8 heures, mais qu’importe : il a bouclé la boucle ! Peu importe donc s’il n’est pas classé : son aventure fut celle d’un outsider déterminé, d’un marin qui a pris le départ avec une équipe 100 % amateur, un bateau de 2014 et un budget serré. Pas la recette habituelle des participants du Vendée Globe, mais il a tenu bon, affrontant tempêtes et pannes pour concrétiser son rêve !
L’histoire commence en 2018, lorsque ce patron de PME et moniteur de voile décide de se lancer dans le Vendée Globe. Acquérir un bateau, trouver des financements, bâtir une équipe… Chaque étape a été une course contre la montre. « C’est comme si un club belge de 3e division jouait la Ligue des champions contre le Real Madrid », résume-t-il avec humour.
Son aventure a été un véritable parcours du combattant. Dès le début, sa girouette fait des siennes, le privant d’informations cruciales sur le vent. Puis, les soucis électroniques s’accumulent, l’obligeant à naviguer à l’instinct. Le coup de grâce ? Son loop de grand-voile casse en Atlantique Nord, l’empêchant de hisser complètement sa voile. Résultat : une progression au ralenti, notamment dans un golfe de Gascogne déchaîné. Pourtant, Denis s’accroche, avançant avec une ténacité à toute épreuve. Chez Vacancesweb, on est fiers d’avoir été son supporter !
S’il n’est pas classé officiellement, il est accueilli en héros aux Sables d’Olonne. Un public nombreux salue sa ténacité. « J’essaie juste de rentrer le plus vite possible », disait-il en pleine mer. Mission accomplie. Et avec les honneurs ! 🏆
Maison
5 Pièces
7 Personnes
80.00 m2
€ / semaine
nuits min