

Un enfant épuisé est un enfant qui dort… ou qui hurle. Si votre enfant est dans la première cagoterie, avant l’embarquement, faites le tour de l’aéroport, explorez les salles de jeu (s’il y en a) et évitez de les asseoir trop tôt. Objectif : qu’ils brûlent un maximum d’énergie avant d’être coincés dans un siège pendant des heures.
Les collations sont vos meilleures alliées. Optez pour des snacks faciles à manger et peu salissants : bâtonnets de légumes, petits biscuits, fruits secs… Évitez le sucre avant le décollage, sauf si vous aimez gérer un enfant surexcité à 10 000 mètres d’altitude…
Préparez un sac à surprises : coloriages, autocollants, petits jouets… Sortez un élément à la fois pour maintenir l’intérêt. L’ennui est l’ennemi du parent voyageur !
Le décollage et l’atterrissage peuvent être douloureux pour les petits. Donnez-leur un biberon, une tétine ou un bonbon à sucer pour les aider à équilibrer la pression. Si votre enfant hurle malgré tout… souriez aux passagers et dites que ça passera vite. (Avec un peu de chance, c’est vrai.)
Un pyjama confortable, une couverture douce, leur doudou préféré… Tout ce qui peut transformer leur siège en cocon est bon à prendre. Si l’enfant est à l’aise, il y a plus de chances qu’il s’endorme – et que vous puissiez souffler.