Les premières mentions des jardins proviennent de textes grecs écrits plusieurs siècles après la période supposée de leur construction. Des historiens comme Strabon et Philon de Byzance les décrivent, mais aucune source babylonienne contemporaine ne les mentionne directement.
Une théorie populaire suggère que les Jardins auraient été construits par le roi Nabuchodonosor II pour sa femme, Amytis de Médie. Cependant, les fouilles archéologiques à Babylone n’ont pas mis en évidence de structures qui pourraient être identifiées comme les Jardins Suspendus.
Les recherches archéologiques dans l’ancienne Babylone ont révélé des systèmes d’irrigation avancés et des jardins, mais rien qui corresponde à la description des Jardins Suspendus. Certains experts suggèrent que les jardins pourraient avoir été situés ailleurs, ou qu’ils soient une exagération poétique d’un jardin réel.
Que les Jardins de Babylone aient existé ou non, ils restent un puissant symbole de la fertilité et de la grandeur de l’ancienne Mésopotamie. Ils représentent l’union de l’ingéniosité humaine et de la beauté naturelle, une idée qui continue de fasciner et d’inspirer.