François Piette
La tendance est prononcée dans les grandes villes. A Bruxelles ou Anvers, 8 lieux de passe privés sur 10 sont des locations touristiques ! Les travailleurs du sexe préfèrent rester dans l’ombre, d’où leur propension à migrer fréquemment de chambre. L’association Payoke, basée à Anvers, souligne l’urgence de ce problème. Leur recommandation ? Prendre des mesures à l’échelle européenne.
Un premier pas a été fait par la commission spéciale de la Chambre. Elle propose un plan de lutte contre la traite d’êtres humains, impliquant à la fois l’industrie hôtelière et celle de la location touristique à court terme. Une histoire à suivre…